photo: Zengő Ferenc
À 22 ans, Mélanie Halter est en train de vivre une saison pas comme les autres. Elle évolue depuis quelques mois en Hongrie, au Motherson Mosonmagyaróvári KC, prêtée par Metz, sa toute première aventure à l’étranger.
Après avoir commencé le handball chez elle à Obernai, effectué un passage marquant à Hilsenheim et à l’ATH, elle a rejoint, en 2019, le centre de formation de Metz où elle a fait ses premiers pas en D1 et en Ligue des champions, puis Saint-Amand (D1), toujours en prêt, la saison dernière.
Sa trajectoire ascendante se poursuit donc désormais dans le prestigieux championnat hongrois au sein duquel évolue Györ, le dernier vainqueur de la Ligue des champions.
En plusieurs épisodes tout au long de la saison, nous allons partir à la découverte de la nouvelle vie de Mélanie Halter qui, pour Handb’elles, a généreusement accepté de nous servir de guide…
Voici ma salle d’entraînement, mais aussi de match.



Le petit fleuve tranquille qui est situé le long de la salle et également de mon appartement, je le longe tous les matins pour me rendre à l’entraînement

Voici une photo du château de Mosonmagyaróvár, situé également juste en face de là où je vis. Et je trouve qu’il a encore plus de charme la nuit.

Ce sont mes deux maillots pour la saison, j’adore la couleur orange, elle me rappelle mes débuts à Hilsenheim, le club qui m’a révélé cette passion pour le handball avec ma super coach, Natacha Giesi.
Et j’ai toujours mon numéro 71 qui signifie beaucoup pour moi. C’est l’année de naissance de mes deux parents et quand on inverse les deux chiffres, cela donne 17 et je tombe sur la date de naissance de ma sœur jumelle, Lydie.
J’ai eu ce numéro à mes débuts à Metz et je suis fière de pouvoir l’avoir cette année encore.
(À suivre…)